Bonjour à tous,
En posant comme contexte celui des matériels de bonne qualité, avec des objectifs planachromatiques, peut-on définir ce qui suit.
Les plages de grossissements, des loupes binoculaires et des microscopes, ne s'arrêtent pas en deçà et au delà d'une certaines valeur de grossissement, car, en fait elles se recouvrent ces deux plages respectives, le haut de la plage des grossissements possibles, avec une loupe binoculaire, venant recouvrir le bas de la gamme usuelle des grossissement utilisés en microscopie.
Un constat, maintenant, celui que, dans les très forts grossissements, avec des loupes binoculaires, la profondeur de champ diminue en proportion de ces forts grossissements, et, de plus, je suppose que l'effet stéréoscopique diminue aussi (ça, je le suppose, n'ayant pas de loupe binoculaire capable de monter dans les grossissements par centaines).
Du coup, à ces forts grossissements, on peut considérer que la loupe binoculaire, de plus en plus, se comporte comme un microscope, en matière de rendu visuel.
Alors, peut-on définir, sinon une frontière nette, exprimée en un grossissement précis, mais au moins une zone limite, correspondant à une certaine plage de grossissements, où il est préférable, pour aller au delà, d’échanger la loupe binoculaire pour un microscope classique.
Cordialement,
Bino