Classé au niveau 2(échelle allant de 2 à 9 ) par rapport à sa faible toxi-tolérance par Kirschbaum et Wirth, (Les Lichens bio-indicateurs), Anaptychia ciliaris est un lichen fruticuleux principalement corticole.
Il était indiqué comme très commun en France autour de 1900 par Boistel, (Nouvelle Flore des Lichens).
Ozenda et Clauzade (Les Lichens, Etude biologique et Flore illustrée) le mentionnent toujours en 1970 comme " très commun en France ".
V.Wirth (Die Flechten Baden-Württembergs,1995) signale Anaptychia ciliaris en très nette régression voir disparue dans l'aire étudiée incluant les Vosges.
Dans Likenoj de Okcidenta Europo, Clauzade et Roux mentionnent en 2002 : " Fréquent excepté en régions trop sèches ".
En 2004, E. Serusiaux, P. Dieterich et J. Lambinon (Les macrolichens de Belgique, du Luxembourg et du Nord de la France), le mentionnent comme " En régression partout ".
En 2009, C. Van Haluwyn et J. Asta (Guide des Lichens de France), l'indiquent comme " espèce commune dans presque toute la France ". Néanmoins ces auteurs la mentionnent comme " très sensible à la pollution acide SO2 "et" en régression dans le nord de la France ".
Jean Louis Besson(voir viewtopic.php?f=223&t=4530&p=42266&hilit=Anaptychia+ciliaris#p42266 ) l'indique comme " courant en altitude dans les départements 06 et 83 ".
Des recherches soutenues et récentes dans l'est de la France, en particulier en Alsace et dans les Vosges, ne m'ont pas permis de la découvrir.
Je pus enfin admirer cette espèce dans un vallon au nord-est de Digne et au bord des Gorges du Verdon sur chêne :
A sec, le thalle de couleur blanc grisâtre forme de petits buissons peu adhérents au substrat :
Les lobes larges de 2 à 3 mm sont bordés par de longs cils gris à noirs. La partie supérieure du thalle est très pubescente :
A l'état humide, le thalle prend une couleur verte, les apothécies sont très souvent présentes :
La présence des cils caractérise toujours cette espèce :
Les apothécies sont portées par un pédicelle ; leur bord est thallin :
Il était indiqué comme très commun en France autour de 1900 par Boistel, (Nouvelle Flore des Lichens).
Ozenda et Clauzade (Les Lichens, Etude biologique et Flore illustrée) le mentionnent toujours en 1970 comme " très commun en France ".
V.Wirth (Die Flechten Baden-Württembergs,1995) signale Anaptychia ciliaris en très nette régression voir disparue dans l'aire étudiée incluant les Vosges.
Dans Likenoj de Okcidenta Europo, Clauzade et Roux mentionnent en 2002 : " Fréquent excepté en régions trop sèches ".
En 2004, E. Serusiaux, P. Dieterich et J. Lambinon (Les macrolichens de Belgique, du Luxembourg et du Nord de la France), le mentionnent comme " En régression partout ".
En 2009, C. Van Haluwyn et J. Asta (Guide des Lichens de France), l'indiquent comme " espèce commune dans presque toute la France ". Néanmoins ces auteurs la mentionnent comme " très sensible à la pollution acide SO2 "et" en régression dans le nord de la France ".
Jean Louis Besson(voir viewtopic.php?f=223&t=4530&p=42266&hilit=Anaptychia+ciliaris#p42266 ) l'indique comme " courant en altitude dans les départements 06 et 83 ".
Des recherches soutenues et récentes dans l'est de la France, en particulier en Alsace et dans les Vosges, ne m'ont pas permis de la découvrir.
Je pus enfin admirer cette espèce dans un vallon au nord-est de Digne et au bord des Gorges du Verdon sur chêne :
A sec, le thalle de couleur blanc grisâtre forme de petits buissons peu adhérents au substrat :
Les lobes larges de 2 à 3 mm sont bordés par de longs cils gris à noirs. La partie supérieure du thalle est très pubescente :
A l'état humide, le thalle prend une couleur verte, les apothécies sont très souvent présentes :
La présence des cils caractérise toujours cette espèce :
Les apothécies sont portées par un pédicelle ; leur bord est thallin :