Fred a écrit:J'aime rencontrer un renard, le matin souvent ou le soir, il me regarde et il me fuit comme un nuisible... Et je me dis que c'est mieux ainsi, il aura plus de chance de survivre en rencontrant ceux de mon espèce....
Le genre de rencontre que je voudrais moins rare dans mon coin...
J'ai le souvenir d'un Renard, à l'orée d'un bois, assis en train de contempler les grosses volailles qui "picoraient" dans la prairie voisine (en fait, une bande de Grues cendrées, vers le Lac du Der, en hiver...)
Trop drôle... les Grues n'en avaient rien à faire
Dans ma plaine de Saône, pourrie par le maraichage et les céréales, il y a une faune sauvage très réduite (pas de papillon, très rarement du renard, jamais de Chat sauvage (rhaaa.... trop beau), quasi pas de rapace nocturne...)
Dès que je fais une incursion dans le Jura d'à côté, c'est quasiment le paradis.
Fred a écrit:De toute façon rien ne changera... Sauf quand l'humain s'éradiquera lui-même.
Bah, si tu prends le siècle dernier (guerres mondiales, Hiroshima, goulags et autres révoltions), ou encore l'actualité récente (Irak, Afghanistan, Syrie...ultra-libéralisme, commerce de la drogue, des armes...), on y arrive, à petit feu... mais notre espèce la vie dure.
La planète peut pourvoir aux besoins de tous, mais non pas satisfaire la cupidité de certains (Gandhi)