Bonjour à tous,
l'avantage de mettre le filtre sur la source est qu'on peut alors se contenter d'un "vulgaire" bout de plastique optiquement imparfait, pourvu que colorimétriquement, il soit correct.
En l'insérant dans le trajet optique, tous ses défauts optiques potentiels sont agrandis en même temps que l'image de l'objet, ce qui oblige à le choisir sans défaut (homogénéité de la matière, parallélisme des faces, sans parler des réflexions partielles sur ses faces s'il n'est pas traité).
Bref, le moins cher à mon sens est de s'orienter vers le filtrage de l'éclairage.
A ce propos, une question : Kodak ne fait-il plus de gélatines colorées ? ça pourrait être une solution satisfaisante et peu chère : elles existaient en filtres de conversion.
Après relecture du chapitre adéquat de "la photo", (bouquin de Chenz et J.L.Sieff, p.129), et si on cherche dans des brocantes photo, il faudrait la dénomination "Wratten 80B" pour convertir une source halogène en "lumière du jour".