Le Naturaliste

Un article intéressant !
> http://www.istaota.fr/ista3/technique-p ... t-xmp.html

On voit que la tendance est plutôt de supprimer toutes les infos et recadrer... (lire l'article et savoir pourquoi !)

@Daniel, pour Picasa tu n'es pas allé à fond! Tu peux gérer les dossiers individuellement par répertoire dans outils/gestionnaire de fichier.

Bien sur,
face au vol d'image, le meilleur moyen d'avoir une preuve d'auteur, est de garder une partie non communiquée. Cela revient au mème que de donner une image seulement en définition inférieure à celle de prise de vue.
Garder les infos techniques me semble moins démonstratif en cas de besoin, mais pourquoi pas.

On pourrait aussi penser que ces informations, qui ne sont pas de l'image, n'ont rien à faire dans le fichier image.
A l'époque des diapositives, je m'étais créé une base de donnée sous DBase, de fiches liées à la diapositive par une référence (n° de pellicule+N° de diapo). On pourrait procèder de mème en numérique.

Il y a aussi des catalogueurs qui me semble t il stockent ces métadonnées dans un fichier annexe au fichier image. LE problème est alors de bien déplacer simultanément le fichier image et le fichier lié de métadonnées.

Chacune de ces solutions a ses avantages et inconvénients. La présence de métadonnées dans le fichier image est toutefois intéressante pour satisfaire la curiosité des spectateurs sur les aspects techniques de la prise de vue.
Mais à l'opposé, elle peut fournir au spectateur des données que l'auteur ne voudrait pas divulguer. Je pense par exemple aux coordonnées GPS de stations de plantes rares photographiées. Pour ces exemples, la diffusion de fichiers débarrassés de métadonnées se justifie aussi...

Daniel a écrit:Chacune de ces solutions a ses avantages et inconvénients. La présence de métadonnées dans le fichier image est toutefois intéressante pour satisfaire la curiosité des spectateurs sur les aspects techniques de la prise de vue.

Oui, et sur le Naturaliste (galerie), si envie, ces données peuvent être exploitées par un moteur spécialement dédié.
Je voulais surtout mettre en avant la différence entre la photographie journalistique/artistique pro et le domaine du naturaliste micro-macroscopiste amateur.

Mais à l'opposé, elle peut fournir au spectateur des données que l'auteur ne voudrait pas divulguer. Je pense par exemple aux coordonnées GPS de stations de plantes rares photographiées. Pour ces exemples, la diffusion de fichiers débarrassés de métadonnées se justifie aussi...

Pour notre activité, c'est je pense la seule raison qui justifierait un effacement des métadonnées, et encore, avec quelques connaissances il ne serait pas difficile de modifier le fichier image et "tromper l’ennemi" !

Bino-Boni a écrit:@Daniel, pour Picasa tu n'es pas allé à fond! Tu peux gérer les dossiers individuellement par répertoire dans outils/gestionnaire de fichier.

Exact, il est possible de paramètrer plus que ce qui est proposé au démarrage. (c'est la moindre des choses). On peut donc travailler avec juste un répertoire en cas de besoin impératif d'une fonction de Picasa.
Reste que je n'adhère pas à la "philosophie" du logiciel et que par exemple, l'affichage des métadonnées des images traitées par microcartouche est incomplet.

Christian a écrit:Je voulais surtout mettre en avant la différence entre la photographie journalistique/artistique pro et le domaine du naturaliste micro-macroscopiste amateur.

A mon sens, il n'y a pas de différence, le naturaliste amateur ne vit pas de ses images, mais son droit d'auteur doit être préservé de la mème façon. Un amateur méfiant est tout à fait en droit d'effacer les exif s'il le souhaite, à mon avis.

Christian a écrit:et encore, avec quelques connaissances il ne serait pas difficile de modifier le fichier image et "tromper l’ennemi" !

quel intérèt? à part, communiquer les coordonnées de prise de vue aux seuls nouveaux initiés du nouveau codage des métadonnées? Il est bien plus simple d'effacer les métadonnées, ou de ne conserver que ce que l'on souhaite communiquer dans la structure ouverte et connue de tous.
Bien sur, beaucoup de ces métadonnées sont intéressantes (et sans problèmes de communication,) par exemple pour faire des statistiques sur les différents microscopes utilisés par les contributeurs, les objectifs préférés...

Si vous voulez effacer toutes les métadonnées d'une photo: c'est simple...........faites du STACKING! il ne reste rien que l'image!
Génial non ???

Daniel a écrit:Exact, il est possible de paramètrer plus que ce qui est proposé au démarrage. (c'est la moindre des choses). On peut donc travailler avec juste un répertoire en cas de besoin impératif d'une fonction de Picasa.
Reste que je n'adhère pas à la "philosophie" du logiciel et que par exemple, l'affichage des métadonnées des images traitées par microcartouche est incomplet.
A mon sens, il n'y a pas de différence, le naturaliste amateur ne vit pas de ses images, mais son droit d'auteur doit être préservé de la mème façon. Un amateur méfiant est tout à fait en droit d'effacer les exif s'il le souhaite, à mon avis.

Picasa est à mon sens plus un logiciel de partage d'images qu'un logiciel de classement d'images. Il est très facile avec ce logiciel de télécharger ses images dans un "album web", à la taille que l'on veut (la taille d'origine étant déconseillée évidemment). Pour les exifs, comme toutes mes photos sont recadrées avec PaintNet, il n'y a aucun exif d'indiqué.
ex : https://picasaweb.google.com/1091102446 ... ceresXU79#

Bonsoir,

à l'inverse, je pense qu'il est vivement conseillé d'envoyer toutes ses photos sur picasa web au format original, en mode privé afin d'utiliser son espace sur google comme sauvegarde : je loue ainsi 80Go chez Google pour l'intégralité de mes photos au format original.
La maison peut flamber, il me restera les photos sur picasaweb, et toutes les factures sur mon espace Dropbox...

Je suis d'accord sur l'intérèt de picasaWeb comme espace de partage gratuit.
Mais il y a d'autres espaces pour cela comme flickr...
un peu plus ambitieux du point de vue artistique, mais pourquoi ne pas faire "feu de tout bois"

Je suis plus réservé sur l'usage comme sauvegarde.
Un exemple de modalités de sauvegarde pro (base de données d'un conservatoire botanique) 2 disques durs travaillant en miroir et un 3e changeant chaque semaine et mis dans un coffre à la banque.
Le web n'est pas utilisé à cause du volume de données!

Je dois avouer que je reste attaché au support physique...
(Je n'accepterai pas de louer un logiciel et de ne pas en avoir une version physique chez moi, mème si elle risque de bruler).

Mais pour revenir aux images, on peut concilier les 2 formes de sauvegarde: tous les originaux chez soi et des copies d'une sélection d'images dans des espaces de stockage sur le Web.

PierreH a écrit:Bonsoir,

à l'inverse, je pense qu'il est vivement conseillé d'envoyer toutes ses photos sur picasa web au format original, en mode privé afin d'utiliser son espace sur google comme sauvegarde : je loue ainsi 80Go chez Google pour l'intégralité de mes photos au format original.
La maison peut flamber, il me restera les photos sur picasaweb, et toutes les factures sur mon espace Dropbox...

Oui mais avec le débit montant de l'ADSL, c'est incompatible avec une charge de photos importantes à 15Mo/chacune alors qu'un NAS ou deux simples ddur de 2 To en tiroir sont plus rapides et faciles à déplacer pour les sécuriser.

Et pour revenir à tout ce qui a été dit jusqu'ici, si vous voulez travailler avec des outils pros, alors prenez LIGHROOM ou bible ou APERTURE et vous aurez les solutions à toutes vos questions.
"si t'es pas pressé tu prends un vélo, sinon une moto et une voiture pour éviter de te mouiller sous la pluie".