J'ai corrigé le titre.
En Espagne, où le loup n'a jamais disparu, il n'a pas été constaté, pas plus qu'en Sibérie, une altération du comportement de prédation.
L'animal se contente de faire ce qu'il doit, c'est juste un truc humano-humain de vouloir réintroduire de grands carnivores là où agriculteurs et éleveurs ont privatisé la nature. Cette vision romantique de l'écologie est absurde.
Il est plus important de veiller sur la propreté chimique de l'eau que sur le Loup, qui n'est pas une espèce en voie de disparition, loin de là (pas plus que l'ours brun d'ailleurs).
L'écologie journalistique, comme l'écologie politique, nous emmènent souvent bien loin de l'écologie scientifique.
1.500 ans avent JC, Pharaon chassait le loup dans la plaine de Gizeh, ce qui en dit long sur les mammifères herbivores qui y prospéraient. Doit-on le réintroduire là où il n'a plus sa place ?