Bonsoir tout le monde!
Pas tout-à-fait d'accord avec toi, Nhan, car il est bien pratique, notamment pour l'étude de larves d'insectes aquatiques, de disposer des deux éclairages. En effet, assez souvent, les caractères discriminants peuvent se trouver sur des branchies par exemple, ce qui impose de les voir en transparence. Cela évite aussi de devoir sacrifier la bestiole pour monter les pièces morpho. entre lame et lamelle.
Tout dépend évidemment du domaine que l'on étudie... ou bien que l'on suppose étudier un prochain jour!
Par contre, je suis assez peu convaincu par les éclairages incidents fixes sur la machine, partisan depuis toujours d'un éclairage via des fibres optiques, bien plus souple.
Se souvenir quand même à ce propos qu'il est facile d'adjoindre un éclairage exterieur en lumière incidente, mais beaucoup moins simple de le faire en lumière transmise quand le statif n'est pas d'origine prévu pour!
Voilà....
Bonne nuit!