Amis passionnants et passionnés,
bonjour,
J'ai lu avec grand intérêt ce débat,
les échanges issus d'une simple question
amènent et engendrent une telle complexité de sujets
qui confirment les interactions infinies des éléments de la vie.
Je puis comprendre que les paysans, les énergies dites
renouvelables, l'essence, l'état et son modèle de gestion,
les interventions humaines en général,
soient inévitablement posés comme arguments.
Bien qu'au premier abord, certaines liaisons ne soient pas directement
évidentes, cependant chaque interlocuteur aura su argumenter
ses propos de manière intelligente pour comprendre la relation.
Toutefois, et n'y voyez aucune relation avec ma personne,
je n'ai pas compris l'intervention de JLouis, notamment
celle-ci:
"Dans certain quartier asiatique et maghrebin principalement des magasins
(petite épicerie fine généralement reste ouverte jusqu'à 00 h voir 01h du matin…
une grosse honte ! Le dimanche également…"
J'ai quelque peu tiqué sur le début de son intervention,
je dois le reconnaitre, puisque l'on parle d'environnement,
de nature, d'écologie, et que si l'on traite de ces sujets,
il serait de raison d'en parler à l'échelle humaine donc planétaire,
et ce, sans arguments ethniques ou géopolitiques dans le
sens le plus trivial des termes.
Nous pourrions, aborder les sujets sur les effets
dévastateurs sur l'environnement des contrées lointaines,
et moins lointaines pour l'exploitation de certaines matières premières
nécessaires aux pays occidentaux.
Ce serait de mon point de vu, un manque de discernement certain,
un recul inexistant sur la gravité de la situation, qui n'aide en rien
une réflexion saine permettant, à défaut d'arrêter nos erreurs
tout du moins d'en minimiser les conséquences.
Je n'ai peut-être pas saisi la nuance de l'intervention,
je laisse à l'auteur le soin d'éclairer, s'il le souhaite,
ma lanterne*.
Bien amicalement,
*alimentée par une dynamo manuelle pour rester dans le sujet