Pediastrum simplex MEYEN, 1829
Posté: 20 Aoû 2021 18:25
Bonsoir,
Pediastrum simplex MEYEN,1829 est une algue d’eau douce (Chlorophyta / Sphaeropleales)
Selon JOHN & al. dans leur flore britannique, l’espèce se distingue de ses congénères par la paroi extérieure de chaque cellule marginale avec un seul lobe effilé.
De nombreuses formes et variétés sont citées par GUIRY & GUIRY, 2021 in AlgaeBase, pas moins de 10 formes et 14 variétés !
Ceci pourrait correspondre à une sorte de frénésie des auteurs algologues. Laisser un nom, passer à une postérité toute relative…
Le coenobe (diam. 65- 250 µm) est constitué de 4 à 128 cellules, ce qui explique la profusion des taxons décrits. JOHN & al. ne retiennent que la forme nominale. On ne peut leur donner tort car il existe une série continue depuis le stade « 4 cellules » jusqu’à des formes ou variétés plus complexes comme le montre cette compilation d’images personnelles et de vues trouvées sur la Toile.
D'abord des spécimens très esthétiques observés dans le Lot-et-Garonne (Lac à Miramont, 2021) :
nb. le dernier spécimen en bas à droite possède 5 cellules centrales contrairement aux autres mais il n'y a que 11 cellules marginales.
Au total, le compte est bon : 16 cellules comme les autres spécimens avec 4 + 12 ! C'est très futé quand même !
Ensuite, d'autres "formes ou variétés" qui ne seront pas nommées car il n'y a point de vanité ici :
Sources diverses dont GUIRY & GUIRY et obs. Manche Yves50
nb. les spécimens du bas à gauche et à droite avec 1 + 7 cellules ! Au centre, la forme minimaliste
Pediastrum simplex MEYEN,1829 est une algue d’eau douce (Chlorophyta / Sphaeropleales)
Selon JOHN & al. dans leur flore britannique, l’espèce se distingue de ses congénères par la paroi extérieure de chaque cellule marginale avec un seul lobe effilé.
De nombreuses formes et variétés sont citées par GUIRY & GUIRY, 2021 in AlgaeBase, pas moins de 10 formes et 14 variétés !
Ceci pourrait correspondre à une sorte de frénésie des auteurs algologues. Laisser un nom, passer à une postérité toute relative…
Le coenobe (diam. 65- 250 µm) est constitué de 4 à 128 cellules, ce qui explique la profusion des taxons décrits. JOHN & al. ne retiennent que la forme nominale. On ne peut leur donner tort car il existe une série continue depuis le stade « 4 cellules » jusqu’à des formes ou variétés plus complexes comme le montre cette compilation d’images personnelles et de vues trouvées sur la Toile.
D'abord des spécimens très esthétiques observés dans le Lot-et-Garonne (Lac à Miramont, 2021) :
nb. le dernier spécimen en bas à droite possède 5 cellules centrales contrairement aux autres mais il n'y a que 11 cellules marginales.
Au total, le compte est bon : 16 cellules comme les autres spécimens avec 4 + 12 ! C'est très futé quand même !
Ensuite, d'autres "formes ou variétés" qui ne seront pas nommées car il n'y a point de vanité ici :
Sources diverses dont GUIRY & GUIRY et obs. Manche Yves50
nb. les spécimens du bas à gauche et à droite avec 1 + 7 cellules ! Au centre, la forme minimaliste